Câest une vraie question que je te pose. Car je mâinterroge depuis toujours sur ce sujet et encore aujourdâhui, je ne comprends pas. đ€
Si tu en as la rĂ©ponse, merci de mâĂ©clairer en commentaire de cet article ou en MP.
Quand je parle de drogue, jâentends : la cigarette, les joints, lâalcool, les mĂ©dicaments, ou toute autre substance qui modifie ton Ă©tat mental naturel (et dont tu peux devenir accro et qui font rarement du bien Ă ton corps et ta santĂ© Ă la longue).
Moi je ne fume pas. Ni des cigarettes, ni rien dâautre. Je nâai jamais fumĂ©. Jâai bien testĂ© la cigarette Ă lâadolescence, mais y ai trouvĂ© trĂšs peu dâintĂ©rĂȘt. En rĂ©alitĂ©, que du dĂ©goĂ»t. đ€ą
Je nâai jamais compris la dĂ©marche des fumeurs, ni ce que cela pouvait leur apporter de bien dans leur Vie. La plupart du temps, je les trouve mĂȘme trĂšs Ă©goĂŻstes (jâen parle dans cet article). Peut-ĂȘtre ont-il raison dâailleurs (voir mon article dâil y a deux jours), mĂȘme sâils me saoulent souvent. đ
Pour ce qui est du cannabis ou du haschich (quelle que soit la façon dont vous lâappelez – sorry đâđ» mais moi pas ĂȘtre une spĂ©cialiste), jâai dĂ©jĂ testĂ© aussi Ă certaines occasions (sorry papa si tu lis cet article đŹ). Seule lâune dâentre elles Ă©tait rĂ©ussie et mâa permise de passer une soirĂ©e diffĂ©rente avec mes amis. Je ne ressens pourtant pas lâenvie urgente de recommencer dĂšs que possible. Des soirĂ©es gĂ©niales entre amis, jâen passe dĂ©jĂ beaucoup ainsi.
Je ne bois pas non plus. Je suis nĂ©e dans une famille oĂč il nâest pas habituel de boire. Ni du vin, ni de la biĂšre, ni quoique ce soit. Du coup je nâai jamais Ă©tĂ© initiĂ©e Ă la chose. MĂȘme ado, je nâai jamais eu envie de faire comme la plupart de mes camarades qui abusaient des fois de la chose.
Il mâarrive parfois de boire un Mojito, un Monaco, un encore verre de vin pendant le repas (mon palais apprĂ©cie de plus en plus avec les annĂ©es, sans pour autant rien nây connaĂźtre), et dây prendre du plaisir mais jamais bien plus. Pas parce que je mâauto-limite au non dâune quelconque rĂšgle de biensĂ©ance, ou pour la conduite, ou pour ma santĂ©. Juste parce que je nâai jamais envie de plus.
Je nâai donc jamais Ă©tĂ© bourrĂ©e de ma Vie (et ouais, et jâen suis plutĂŽt fiĂšre đ). Un peu pompette peut-ĂȘtre. Mais je nâai jamais vomi mes tripes pour cela, fini amnĂ©sique ou avec la gueule de bois du lendemain.
MĂȘme si je voulais y parvenir, le problĂšme est que nâarrive jamais Ă boire plus que ma soif. Et câest un rĂ©el mystĂšre pour moi ceux qui enchainent les verres comme ils avaient une rigole Ă la place de lâĆsophage. Sans parler de leur vessie extensible… đ
Et malgrĂ© tout cela, je mâĂ©clate grave dans ma Vie ! đ  Vraiment vraiment.
Peut-ĂȘtre pas sur le papier aux yeux de certains. Raaaaah je mâen suis prise des remarques plus jeune, considĂ©rĂ©e par eux comme une nana coincĂ©e qui devait plus se lĂącher. Voila la rĂ©ponse qui me vient depuis toujours : đ (Bon okay parfois đđ» dans mes mauvais jours)
En vrai : je surkiffe ma Vie, je la savoure, je la goĂ»te sous toutes ses formes, je lâaime đ.
Je suis méga happy la majorité du temps.
Je me sens bien dans mes baskets telle que je suis et prĂȘte Ă avancer vers des aventures toujours plus excitantes.
Je fais la fĂȘte, je danse, je ris, je mâĂ©merveille de tout, je mâamuse, je suis parfois barrĂ©e, des fois plus sĂ©rieuse.
Je suis entourĂ©e de beaucoup dâamis (qui ne boivent ou ne fument pas, un peu ou passionnĂ©ment).
Je nâai aucunement besoin de boire ou de fumer pour me mettre dans une quelconque ambiance, pour aller la premiĂšre sur la piste de danse, pour parler fort et faire mon intĂ©ressante, ou encore pour me lĂącher.
Je savoure la Vie, les pieds biens encrĂ©s dans la rĂ©alitĂ©, telle quâelle est. Et elle est vachement belle.
Alors pourquoi chercher à la voir différemment ?
Quâil sâagisse dâune envie de vivre une expĂ©rience diffĂ©rente de temps en temps, ou juste un rĂ©el plaisir de boire ou de fumer, ça je peux le comprendre. Moi qui prĂŽne la recherche sans cesse de son plaisir propre, je ne peux que mĂȘme approuver.
Mais ce qui mâinterpelle et ce que je nâai jamais compris (Ă©clairez-moi ! đ€) : câest cette quĂȘte perpĂ©tuelle de lâĂ©tat second.
Câest cette idĂ©e que pour passer une bonne soirĂ©e, pour sâĂ©clater, ou mĂȘme surmonter un stress, IL FAUT se bourrer la gueule ou se droguer.
Je ne comprends pas ces groupes dâamis qui se rĂ©unissent pour boire, juste pour boire, avant de sortir, afin de passer une bonne soirĂ©e (sont pas foutus de le faire sans ???).
Je comprends encore moins ceux qui picolent seuls chez eux le soir (WTF ?).
Je ne comprends pas ceux qui ressentent le besoin de fumer des joints Ă longueur de journĂ©e, mĂȘme au travail (đ€·đ»ââïž)
Quelle est la quĂȘte derriĂšre tout cela ? Une fuite de la Vie telle quâelle est rĂ©ellement ?
What is the problem avec votre rĂ©alitĂ© les gars ??? Ou avec votre personnalitĂ© lorsquâelle est normale ??? đ€
Pourquoi ne kiffes-tu pas simplement la Vie au jour le jour, quitte Ă tâoffrir un bonus un extra de ce type de temps en temps ?
Explique-moi ???
En toute bienveillance,
Maude alias Maudus
Créatrice de bonheur interrogative
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