Dis-moi si tu as déjà vécu ça :

Aujourd’hui, il y a quelque chose qui bouillonne à l’intérieur de toi. Quelque chose de bloqué.

Tu sens que c’est dark. Que ce n’est pas franchement beau. Que ce n’est pas la partie la plus cool et fun de toi.

Mais c’est comme ça. Ce n’est pas un jour où tu es dans un énergie lumineuse. Tu es tourné vers toi-même et ce sentiment négatif qui végète à l’intérieur.

Tu ne sais pas trop pourquoi. Ou peut-être que tu en as une petite ou grosse idée. Mais ça te fatigue à l’avance d’aller creuser. Tu as juste envie d’attendre que ça passe.

Et surtout : qu’on te foute la paix !

C’est un de ces jours où si tu pouvais rester seule et ne voir personne, ça t’irait. Les autres t’éneeeeervent aujourd’hui. Sans raison apparente. Enfin si, tu pourrais en faire toute une liste. Mais en vrai, il ne t’ont rien fait de spécial. C’est toi qui es d’une humeur exécrable.

Le mieux serait qu’on ne t’adresse surtout pas la parole. Parce que tu n’as pas envie d’être gentille, polie, bienveillante.

Rien que ton énergie pue le « ne m’approchez pas » ou « tout me saoule ».

Tu as envie de rester dans ta taverne. Dans le noir. D’attendre un jour meilleur.

Tu connais ?

C’est le mood dans lequel j’étais il y a quelques jours. DEUX journées d’affilées. La poisse !

Manque de pot, cela coïncidait justement avec la présence de mon chéri trop parfait. Oups… 😬

Pas cool pour lui. 😕

Car dans ces moments là, c’est justement sur ceux qui croisent ton chemin, et ENCOOOORE plus sur ceux qui t’aiment de manière inconditionnelle, que tu as envie de te défouler.

Parce que sur le moment, c’est la solution de facilité.
Parce que tu as besoin de faire sortir cette négativité de toi et c’est eux qui prennent.
Parce qu’ils sont le miroir de ce qui ne va pas chez toi.
Parce que tu sais que quoiqu’il arrive, ils seront toujours là.

Ca peut être ton ou ta chérie, tes parents, tes frères et soeurs, des amis, tes enfants, tes animaux pourquoi pas, qui se prennent alors les foudres de ton mal-être.

Et ce n’est carrément pas juste pour eux.

Auparavant, dans mon ancienne ancienne vie, cela m’arrivait bien plus souvent.

Je le sentais dès le réveil. Humeur bougonne. Pas envie de parler. Pas envie de sourire béatement. Envie de faire « pfff » toutes les deux minutes.

Le problème est qu’à l’époque, j’étais obligée de côtoyer des collègues, voire des gens carrément relous que je n’avais pas délibérément fait entrer dans mon Univers.

Le problème était que je n’étais pas libre et je n’exploitais pas mon plein potentiel.
Que je ne profitais pas de la vie comme j’en avais envie.

Bref, j’avais bien plus de raisons d’être de mauvais poil. Aigrie parfois. Fermée. Désagréable.

Dans ma nouvelle nouvelle vie, ce type d’état d’esprit est devenu mon exception.

Mais ça m’arrive encore. Je suis humaine heinnn. Et je suis surtout en plein apprentissage de l’accueil de mes émotions négatives. En pleine prise de conscience qu’elles servent à quelque chose. A t’apprendre.

A condition que tu en tires des enseignements. Que tu creuses les raisons pour lesquelles elles sont là. Que tu regardes en toi. Que tu comprennes ce qui se joue en toi.

Ouais je sais c’est pas le programme le plus funky du monde. C’est chiant de faire ça et ça ne fait pas toujours du bien. C’est pas toujours beau à voir quoi….Mais c’est essentiel pour évoluer. Passer à autre chose.

C’est là où je voulais en venir. Les autres n’ont pas à pâtir de ta mauvaise humeur car elle t’appartient à toi.

Elle ne te concerne que TOI. Pas les autres.

Sûr que c’est plus facile de reporter la faute sur l’extérieur = excuse pour ne pas regarder en toi.

Alors qu’il est de ta responsabilité de dénicher pourquoi elle est là.

Quand j’ai constaté mon état ce weekend, j’ai notamment écrit ce mot à mon mec alors que je sortais m’aérer l’esprit :

« Je suis d’humeur contrariée aujourd’hui (sans doute à cause de mes règles qui arrivent) mais je vais tout faire pour que tu n’en pâtisses pas. Je t’aime ».

C’est mon deuxième conseil : LA COMMUNICATION CLAIRE.

Dire à l’autre l’émotion négative que tu ressens, c’est le rendre plus tolérant à elle et ce qui va sortir de toi (c’est quand même pas une excuse pour pas la retenir hein).

C’est permettre à l’autre de comprendre ce qui se joue en toi et que cela n’a rien à voir avec lui.

Et c’est aussi une façon pour toi de mettre des mots sur ce que tu ressens et commencer à trouver un début de réponse.

En parler, c’est commencer à avancer.

Faire ce cadeau à l’autre d’être transparant(e). Quand tout va bien. Mais aussi quand cela ne va pas.

C’est pour moi le secret de relations saines et sereines, malgré la complexité d’êtres humains que nous sommes.

Je ne sais pas encore si mon état n’était dû qu’à l’arrivée de mes règles ou autre chose de plus profond. Je me laisse portée par mes exercices quotidiens d’écriture pour creuser.

Et puis entre temps, j’ai remonté la vague du moral et je surfe presque à nouveau complètement sur de la joie et de la légèreté 🙂.

Je n’ai pas manqué de remercier mon chéri d’avoir été là ces jours plus sombres, et j’ai hâte de lui faire profiter de ma bonne humeur éclatante revenue 😃.

Si tu penses que cet article peut servir à quelqu’un d’autre, partage lui surtout. Commente-le si tu as envie de partager ton ressenti. Ou offre moi une accolade virtuelle à distance en y pensant très fort. Tu peux aussi me payer un thé là: http://urlz.fr/6OXI

Des schmoutz,

Maude alias Maudus, à nouveau en pleine forme

Jusqu’à ce mardi, je peux t’aider à te connecter plus facilement à ton intuition pour que toutes les prochaines décisions de ta vie soient plus évidentes : https://www.paypal.com/webapps/shoppingcart?flowlogging_id=cbaf9fa7964ad&mfid=1525707859143_cbaf9fa7964ad#/checkout/openButton

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Ecris-moi si tu as des questions surtout.

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